Le juge James Omotosho d'une Haute Cour fédérale (FHC) à Abuja a fixé le 21 mars pour le procès de Mrnnamdikanu, le chef des autochtones proscrits du Biafra (IPOB).
L'agence de presse du Nigéria (NAN) a rassemblé de manière fiable mercredi que le juge Omotosho a fixé la date après le transfert du dossier de l'affaire.
Kanu, qui a été ramené dans le pays en juin 2021 du Kenya, devait remplacer son plaidoyer alors que l'affaire recommence (de novo).
Le juge en chef du FHC, le juge John Tsoho, avait dans une lettre datée du 4 mars et adressé à l'avocat principal de Kanu, Mraloyejimakor, a communiqué la réaffectation de l'affaire du juge Bintanyako au juge Omotosho.
Le réaffectation a suivi la demande de Kanu et de son équipe d'avocats pour le transfert de l'accusation de terrorisme à sept chefs d'accusation à un autre juge, après avoir allégué des biais.
Le juge Nyako, le 24 septembre 2024, a été retiré (s'est retiré) de l'affaire et a envoyé le dossier de l'affaire au CJ de FHC pour réaffectation.
Le juge a déclaré qu'elle ne pouvait pas procéder à un procès où un défendeur manquait de confiance dans le tribunal.
Cependant, le CJ a renvoyé le dossier du cas de Kanu au juge Nyako pour arbitrage, insistant sur le fait qu'une demande officielle doit être présentée par la défense avant que la récusation puisse être acceptée.
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Mais Kanu et Ejimakor, le 10 février, ont insisté sur le fait que le juge Nyako n'avait plus compétence pour présider l'affaire après sa récusation (retrait) de l'affaire, ce qui a incité le juge à ajourner l'affaire indéfiniment (Sine Die).
Nan rapporte que le juge Ahmed Mohammed (qui a été élevé à la cour d'appel) et le juge Tsoho (avant de devenir le CJ) avaient présidé le procès de Kanu avant qu'il ne soit affecté au juge Nyako, à la suite du rejet par le défendeur des deux juges.