Les Combattants de la liberté économique (EFF) prévoient de mettre le pays à l’arrêt le 20 mars sur les délestages et appelleront également à la démission du président Cyril Ramaphosa.
Alan Winde, premier ministre du Cap-Occidental. Photo : @alanwinde/Twitter.
CAPE TOWN – Le Premier ministre du Cap occidental, Alan Winde, a déclaré qu’il n’y avait pas de liberté économique si vous fermiez l’économie.
Ceci est en réponse à l’appel des combattants de la liberté économique (EFF) pour un arrêt à l’échelle nationale le 20 mars.
L’action de l’EFF exige que le gouvernement résolve immédiatement le délestage et appelle également le président Cyril Ramaphosa à démissionner.
« Je suis profondément préoccupé par l’appel de l’EFF à une fermeture nationale et, dans ce cas, à l’échelle provinciale. Le thème qui suit cet appel à la fermeture est celui de la violence et du pillage, ce qui est absolument inacceptable. »
Winde a averti qu’il y aurait des conséquences pour quiconque participerait à l’arrêt.
« Nous ne pouvons pas permettre aux entreprises de ne pas ouvrir. Nous devons nous assurer que nous avons SAPS et nos agents des forces de l’ordre sur place pour protéger les droits des autres le 20 et nous le ferons. »
🚨 Demain, mardi 14 mars, Leader DA, @jsteenhuisen annoncera des mesures juridiques urgentes contre la fermeture nationale de l’EFF, ainsi qu’un mécanisme permettant aux citoyens sud-africains de tenir tout membre de l’EFF responsable de tout dommage infligé à la propriété publique et privée. pic.twitter.com/mQ0CnarzI2
‘ Alliance démocratique (@Our_DA) 13 mars 2023