L’Égypte et la Commission électrotechnique africaine de normalisation signent un protocole d’accord – Egypte

Signature d’un protocole d’accord entre l’Égypte et la Commission électrotechnique africaine de normalisation au Caire le 29 novembre 2022. Photo de presse

LE CAIRE – 29 novembre 2022 : L’Égypte et la Commission électrotechnique africaine de normalisation ont signé mardi un protocole d’accord sur l’échange d’expériences par la formation des travailleurs et sur l’unification des normes.

Côté égyptien, le pays peut proposer des formations dans les domaines des énergies renouvelables, et de l’hydrogène vert notamment.

L’Égypte occupe la quatrième place mondiale en termes de plus grandes centrales produisant de l’électricité à partir de l’énergie solaire. Le pays a acquis le rang après l’exploitation du parc solaire de Benban, qui a une capacité de 2 000 mégawatts.

Benban est un modèle de coopération fructueuse entre les investisseurs privés et le gouvernement, qui a permis à ce projet de remporter le prix d’excellence du gouvernement.

En ce qui concerne les réseaux, plus de 1 000 milliards de LE ont été investis par le ministère égyptien de l’électricité et des énergies renouvelables depuis 2014 pour améliorer et développer la production, le transport et la distribution d’électricité dans tout le pays.

Au cours des 8 dernières années, le ministère de l’électricité a pu développer le niveau de service et renforcer le réseau national égyptien de manière à lui permettre d’exporter les réserves journalières vers le réseau grâce à des projets d’interconnexion électrique avec les pays européens, africains et du Golfe. .

Le Dr Mohamed Shaker, ministre de l’Électricité et des Énergies renouvelables, a révélé que les investissements totaux dans les projets électriques dans le but d’améliorer et de renforcer le réseau national égyptien s’élevaient depuis 2014, révélant que les investissements totaux des projets futurs s’élèvent à environ 520 milliards de livres.

Shaker a expliqué que l’intérêt que le secteur de l’électricité et des énergies renouvelables a suscité au cours des 8 dernières années et se poursuit jusqu’à présent est sans précédent, ce qui a permis au secteur de faire un saut majeur dans le réseau national égyptien d’une manière qui lui permet d’entrer fortement dans projets d’interconnexion et de transport d’électricité vers les pays du monde.

Shaker a ajouté que les investissements totaux pour développer les réseaux de production d’électricité au niveau de la République s’élevaient à 355 milliards de livres, soulignant que le réseau de transport d’électricité a été développé, le double de ce qui a été fait au cours des 60 dernières années, pour un coût d’investissement de 75 milliards. livres, ce qui a permis au réseau de transport d’électricité égyptien de devenir 100% de haute qualité.

Le ministre a souligné que les travaux se poursuivent pour soutenir et développer les réseaux de distribution d’électricité pour un coût d’investissement de 38 milliards de livres, en plus des 37 milliards de livres pour développer et établir un centre de contrôle pour le transport et la distribution, notant que l’initiative d’un contribuera grandement à l’achèvement rapide du développement des réseaux de distribution. Ainsi, l’amélioration du niveau de service dans les gouvernorats de Haute-Égypte et les villes éloignées.

Shaker a déclaré que les investissements actuels et futurs dans le domaine des énergies renouvelables s’élevaient à 70 milliards de livres, en plus des investissements de 383 milliards de livres dans des projets de pompage et de stockage et la mise en place de la première centrale nucléaire à El-Dabaa pour produire de l’électricité d’une capacité de 4800 mégawatts.

Il a également ajouté qu’il y avait des investissements d’une valeur de 40 milliards de livres pour des projets d’hydrogène vert d’une capacité de 4 800 mégawatts. 1 400 mégawatts et des investissements d’une valeur de 60 milliards de livres pour des projets d’interconnexion électrique avec les pays voisins, Chypre, la Grèce, l’Arabie saoudite et la Jordanie.

Shaker a expliqué qu’avant 2014, il y avait 7 centres de contrôle dans le réseau national de transport d’électricité, expliquant que 4 centres de contrôle régionaux sont en cours d’établissement dans le Canal, le Delta, le Caire et Alexandrie, et deux centres de contrôle régionaux ont été achevés dans le Haut et le Moyen L’Egypte à un coût d’investissement de 5 milliards et 600 millions de livres.

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