Atteindre les objectifs de l’ethnie oromo extrémiste par l’insurrection, le meurtre de masse et le chaos tout en prêchant «l’évangile de la prospérité» – Ethiopie

Cinq ans après son arrivée au pouvoir en prenant la relève du régime précédent (TPLF/EPRDF) et après avoir promis d’unifier et de sortir l’Éthiopie d’un régime diviseur, tyrannique, dictatorial et ethnique, Abiy Ahmed et ses ethnocrates égoïstes ont plongé le pays dans un état de chaos économique, d’anarchie, de génocide et de catastrophe humaine sans précédent. Compte tenu de la trajectoire descendante actuelle de l’Éthiopie sous le régime Abiy/Oromuma, il est inévitable de provoquer une instabilité régionale si elle n’est pas stoppée.

Comment Abiy Ahmed a-t-il trompé le monde d’apparaître comme un faiseur de paix pour devenir un monstre qui se soucie moins de quelqu’un d’autre que de son propre « ego » et de son « ethnicité » ?

De nombreux Éthiopiens croient maintenant qu’Abiy Ahmed est un manipulateur de pouvoir qui manque de compréhension et de compétences de base pour diriger un pays qui a une histoire riche, une diversité et une harmonie entre ses habitants. De nombreux articles et analystes ont conclu que la quête d’Abiy pour des projets d’éléphants blancs auto-agrandissants manque de compréhension des valeurs et des besoins humains fondamentaux. De plus, son attachement au système d’apartheid ethnique rejeté est devenu une recette pour un désastre. Une publication récente du New Yorker « Did a Nobel Laureate Stoke a Civil War » est un excellent exemple qui indique les nombreux échecs et la pure incompétence d’Abiy Ahmed Ali.

L’organisation politique que lui et les nationalistes extrémistes oromo ont créée (Prosperity Party) a été prise sur un enregistrement divulgué exposant leur stratégie « convaincre ou confondre », qui est poursuivie avec agressivité par son adjoint, le soi-disant chef régional oromo Shimeles Abdissa. Leur principale cible d’anéantissement, comme Shimelis l’indique clairement sur l’enregistrement, sont les Amharas. Cette stratégie est une copie conforme du régime défunt du TPLF/EPRDF sous stéroïdes, avec sa propre saveur agressive de capture de l’État : contrôle et prise en charge littéralement des principales institutions éthiopiennes et « OROMISATION » de ces institutions, déracinement des non-Oromos de leur maisons et terres par la violence, y compris le génocide et la confiscation des terres et propriétés des victimes. L’instabilité que cela a provoquée a déjà engendré l’extrémisme ethnique oromo, ce qui a entraîné un terrorisme régional parrainé par le soi-disant gouvernement régional oromo le long de toutes ses frontières internes et externes.

Les principaux agents qui exécutent ces actes inhumains et barbares ne sont autres que les forces spéciales régionales oromo, les éléments extrémistes de Querro, les cadres régionaux, les milices et d’autres groupes nationalistes oromo armés et financés par le gouvernement fédéral, le tout dans le cadre d’un non-intervention coordonné. opération par Abiy Ahmed lui-même.

Depuis que le régime d’Abiy a pris le pouvoir, des dizaines de milliers d’Amharas ont été brutalement assassinés dans la région dite d’Oromo. Des millions de personnes ont été déplacées et sont exposées à des conditions inhumaines dans les camps de peuplement tandis que leurs propriétés ont été pillées par leurs agresseurs.

Le comportement vicieux et impitoyable du régime d’apartheid ethnique d’Abiy Ahmed a continué de s’intensifier chaque jour jusqu’à ce que le principal contrevenant à la soi-disant loi soit le régime lui-même. Personne n’est en sécurité dans une telle anarchie et un tel chaos parrainés par l’État, qui sont principalement incités par Abiy Ahmed et le parti de la prospérité dominé par les extrémistes oromo qu’il dirige.

Derrière cette folie, cette destruction et ce chaos se cache une idéologie tribale appelée « Oromuma » qui s’efforce de parvenir à une société ethnique oromo homogène en effaçant les autres ethnies à travers toutes les frontières internes et régionales par l’expansion et la soumission de ses victimes en tant qu’esclaves de son idéologie ethno-fasciste.

(à suivre)

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